Mesdames et Messieurs les candidats à l’élection présidentielle, et si vous faisiez revenir l’épargne populaire vers les entreprises ?

VOUS PRÉTENDEZ TOUS vouloir éradiquer le chômage

VOUS SAVEZ SANS DOUTE

  • que ce sont les TPE et PME qui créent le plus d’emplois ;
  • que, par manque de fonds propres, elles peinent à grandir, les plus brillantes finissant par se vendre à des fonds ou à des industriels étrangers ;
  • qu’à l’inverse, les grands groupes créent peu d’emplois, se financent sur les marchés et distribuent de confortables dividendes.

SAVEZ-VOUS EN REVANCHE

  • que le nombre d’actionnaires individuels directs a chuté de 7,4 millions en 2000 à 3,3 millions en 2015 (source ANSA) ?
  • qu’en 2015, seuls 39.462 foyers ont investi dans les entreprises françaises en réduction ISF, pour un montant de 440 M€, soit un manque à gagner fiscal de 220 M€ (50%) ?
  • que plusieurs millions de Français, même modestes, seraient prêts à investir dans des entreprises dont ils sont proches, géographiquement ou affectivement ?

ALORS NE PENSEZ-VOUS PAS

  • que la notion d’actionnariat populaire n’a rien de péjoratif ?
  • que des mesures simples réorienteraient l’épargne individuelle vers les TPE, PME et ETI françaises ?
  • que ces mesure accéléreraient le retour au plein emploi et amélioreraient les recettes de l’Etat ?

Pionnier du financement des PME par l’actionnariat individuel régional (1),
notre cabinet propose trois mesures simples :

  1. mettre fin à la réduction ISF qui n’a concerné que 39 462 foyers en 2015 ;
  2. poursuivre la mise en œuvre de l’article 172 de la loi 2015-990 du 6 août 2015, pour la croissance, l’activité et l’égalité des chances économiques qui prévoit « la création de plateformes de cotations régionales ou de bourses régionales dans chaque métropole régionale, en hexagone et dans les outre-mer, afin de fournir un outil de circuit court de financement régional » ;
  3. mettre en place un abattement fiscal afin de faire revenir en direct vers les entreprises des millions d’épargnants, à travers des plateformes de bourses locales et/ou régionales. Celui-ci pourrait prendre la forme d’un seuil annuel de ventes d’actions en deçà duquel les plus-values ne seraient pas imposées.

(1) Conseiller de Jacques Delors lors des réflexions qui mèneront à la création du Second Marché en 1983, Jean Salwa, professionnel de la Bourse, crée en 1982 le Centre d’Informations et d’Introductions Boursières CiiB. Sa structure introduit 54 PME qui lèveront 90 millions d’euros auprès de 30.000 actionnaires individuels, principalement sur les six bourses régionales de Bordeaux, Lille, Lyon, Marseille, Nancy et Nantes. Jean Salwa est aujourd’hui Président d’Honneur de CiiB SA.
Désormais en mode Fintech, CiiB, labellisé par le pôle Finance Innovation, propose un concept de mini-bourse digitale individuelle pour PME, permettant d’assurer la liquidité du capital et de procéder à des levées de fonds.

 

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